mercredi 23 juillet 2008

reglement de la maison

Pour bien élever son chien, il convient de lui apprendre un certain nombre de règles :



1. Le chien n'a pas le droit de rentrer dans la maison.

.2. Bon, il peut rentrer, mais seulement dans certaines pièces.


3. Le chien peut entrer dans toutes les pièces, à condition de ne pas monter sur les fauteuils.

4. Le chien ne peut monter que sur les vieux fauteuils sales.

5. OK, il peut monter sur tous les fauteuils, mais pas question qu'il dorme sur le lit avec les humains

6. ça va, ça va! Il a le droit d'aller sur le lit, mais seulement sur invitation.

7. Le chien peut dormir sur le lit quand il veut, mais pas sous les couvertures.

8. Le chien a le droit d'aller sous les couverture si on l'y invite.

9. Le chien peut dormir sous les couvertures tous les soirs.

10. Les humains doivent demander la permission du chien pour dormir avec lui sous les couvertures.


sans commentaires!

dimanche 20 juillet 2008

beau miroir

ah! je ris de me voir si belle en ce miroir!
ah je ris de me voir si belle en ce miroir!
Marguerite ... Marguerite....
tra la la....


dis moi beau miroir... je suis quand même la plus belle... non?

nouvelle petite soeur




après Timéo et roméo... voici la dernière petite soeur.. qui s'appelle Pomme caramelle
elle a l 'air un peu bête.. avec ses grands yeux qui louchent.. vous trouvez pas?

jeudi 17 juillet 2008

histoire triste...préparez vos mouchoirs

voilà un texte bien émouvant qui reflète toute la loyauté canine et toute la bêtise humaine:"Comment est-ce possible ?" Par Jim Willis, 2001


Préparez les mouchoirs... Je laisse la place à ce magnifique texte...

Quand j'étais un chiot, je t'ai amusé avec mes cabrioles et t'ai fait rire. Tu m'as appelé ton enfant, et en dépit de plusieurs chaussures mâchées et quelques oreillers assassinés, je suis devenu ton meilleur ami. Toutes les fois que j'étais méchant tu agitais ton doigt vers moi et me demandais " Comment est-ce possible ? ", mais après on s'amusait ensemble. Mon éducation a pris un peu plus longtemps que prévu, parce que tu étais terriblement occupé, mais nous y avons travaillé ensemble. Je me souviens de ces nuits où je fouinais dans le lit et écoutais tes confidences et rêves secrets, et je croyais que la vie ne pourrait pas être plus parfaite. Nous sommes allés pour de longues promenades et courses dans le parc, promenades de voiture, arrêts pour de la crème glacée (j'ai seulement eu le cornet parce que " la glace est mauvaise pour les chiens, " comme tu disais), et je faisais de longues siestes au soleil en attendant que tu rentres à la maison. Progressivement, tu as commencé à passer plus de temps au travail et à te concentrer sur ta carrière, et plus de temps à chercher un compagnon humain. Je t'ai attendu patiemment, t'ai consolé après chaque déchirements de coeur et chaque déception, ne t'ai jamais réprimandé au sujet de mauvaises décisions, et me suis ébattu avec joie lors de tes retours au foyer. Et puis tu es tombé amoureux. Elle, maintenant ta femme, n'est pas une "personne chien ", mais je l'ai accueillie dans notre maison, essayé de lui montrer de l'affection, et lui ai obéi. J'étais heureux parce que tu étais heureux. Ensuite les bébés humains sont arrivés et j'ai partagé votre excitation. J'étais fasciné par leur couleur rose, leur odeur, et je voulais les pouponner aussi. Seulement vous vous êtes inquiétés que je puisse les blesser, et j'ai passé la plupart de mon temps banni dans une autre pièce ou dans une niche. Oh, comme je voulais les aimer, mais je suis devenu un "prisonnier de l'amour ". Comme ils ont commencé à grandir, je suis devenu leur ami. Ils se sont accrochés à ma fourrure et se sont levés sur leurs jambes branlantes, ont poussé leurs doigts dans mes yeux, fouillé mes oreilles, et m'ont donné des baisers sur le nez. J'aimais tout d'eux et leurs caresses - parce que les tiennes étaient maintenant si peu fréquentes - et je les aurais défendus avec ma vie si besoin était. J'allais dans leurs lits et écoutais leurs soucis et rêves secrets, et ensemble nous attendions le son de ta voiture dans l'allée. Il y eut un temps, quand les autres te demandaient si tu avais un chien, tu leur montrais une photo de moi dans ton portefeuille et tu leur racontais des histoires à mon propos. Ces dernières années tu répondais juste " oui " et changeais de sujet. Je suis passé du statut de " ton chien" à " seulement un chien, " et vous vous êtes offensés de chaque dépense pour moi.Maintenant, vous avez une nouvelle occasion de carrière dans une autre ville, et vous allez déménager dans un appartement qui n'autorise pas d'animaux familiers. Tu as fait le bon choix pour ta " famille", mais il y eut un temps où j'étais ta seule famille. J'étais excité par la promenade en voiture jusqu'à ce que nous arrivions au refuge pour animaux. Cela sentait les chiens et chats, la peur, le désespoir. Tu as rempli la paperasserie et as dit : " Je sais que vous trouverez une bonne maison pour elle." Ils ont haussé les épaules et vous ont jeté un regard attristé. Ils comprennent la réalité qui fait face à un chien entre deux âges, même un avec "des papiers." Tu as dû forcer les doigts de ton fils pour les détacher de mon col et il a crié " Non, Papa ! S'il te plaît, ne les laisse pas prendre mon chien !" Et je me suis inquiété pour lui. Quelles leçons lui avez-vous apprises à l'instant au sujet de l'amitié et la loyauté, au sujet de l'amour et de la responsabilité, et au sujet du respect pour toute vie ? Tu m'as donné un " au revoir caresse" sur la tête, as évité mes yeux, et as refusé de prendre mon collier avec vous. Après votre départ, les deux gentilles dames ont dit que vous saviez probablement au sujet de votre départ il y a de cela plusieurs mois et que vous n'aviez rien fait pour me trouver une autre bonne maison. Elles ont secoué la tête et ont dit : " Comment est-ce possible ?". Ils sont aussi attentifs à nous ici dans le refuge que leurs programmes chargés le leur permettent. Ils nous nourrissent, bien sûr, mais j'ai perdu l'appétit il y a plusieurs jours. Au début, chaque fois que quelqu'un passait près de ma cage, je me dépêchais en espérant que c'était toi, que tu avais changé d'avis, que c'était juste un mauvais rêve... ou j'espérais tout au moins que ça soit quelqu'un qui se soucie de moi et qui pourrait me sauver. Quand je me suis rendu compte que je ne pourrais pas rivaliser avec les autres chiots qui folâtraient pour attirer l'attention, je me suis retiré dans un coin de la cage et j'ai attendu. J'ai entendu ses pas quand elle s'approchait de moi en fin de journée, et j'ai trottiné le long de l'allée jusqu'à une pièce séparée. Une pièce heureusement tranquille. Elle m'a placé sur la table et a frotté mes oreilles, et m'a dit de ne pas m'inquiéter. Mon coeur battait d'appréhension à ce qui était à venir, mais il y avait aussi un sentiment de soulagement. Le "prisonnier de l'amour" avait survécu à travers les jours. Comme c'est dans ma nature, je me suis plutôt inquiété pour elle. Le fardeau qu'elle porte pèse lourdement sur elle, et je le sais, de la même manière que je connaissais votre humeur chaque jour. Elle a placé une chaîne doucement autour de ma patte de devant et une larme a roulé sur sa joue. J'ai léché sa main de la même façon que je te consolais il y a tant d'années. Elle a glissé l'aiguille hypodermique habilement dans ma veine. Quand j'ai senti la piqûre et le liquide se répandre à travers mon corps, je me suis assoupie, l'ai examinée de mes gentils yeux et ai murmuré : " Comment as-tu pu ?". Peut-être parce qu'elle comprenait mon langage, elle a dit " je suis si désolée." Elle m'a étreint, et m'a expliqué précipitamment que c'était son travail de s'assurer que j'allais à une meilleure place où je ne serais pas ignoré ou abusé ou abandonné, où j'aurais à pourvoir moi-même à mes besoins, une place remplie d'amour et de lumière très différent de cet endroit. Et avec mes dernières forces, j'ai essayé de me transporter jusqu'à elle et lui expliquer avec un coup sourd de ma queue que mon " Comment as-tu pu ?" n'était pas dirigé contre elle. C'était à toi, Mon Maître Bien-aimé, que je pensais. Je penserai à toi et t'attendrai à jamais. Puisse tout le monde dans ta vie continuer à te montrer autant de loyauté.



Note de l'auteur :Si "Comment est-ce possible ?" a mis des larmes dans vos yeux en le lisant comme cela me l'a fait alors que je l'écrivais, c'est parce que c'est l'histoire de millions d'animaux familiers qui meurent chaque année dans des chenils français, américains et canadiens.Tout le monde est bienvenu à distribuer cet essai dans un but non commercial, aussi longtemps qu'il est distribué correctement avec l'avis du copyright.S'il vous plaît utilisez-le pour aider à l'éducation, sur vos websites, blogs, dans des bulletins d'informations, dans les refuges pour animaux et tableaux d'affichage du bureau du vétérinaire. Dites au public que la décision d'ajouter un animal familier à la famille est une importante décision pour la vie, que les animaux méritent notre amour et nos soins, que la recherche d'une autre maison appropriée pour votre animal est votre responsabilité et que toute vie est précieuse. S'il vous plaît, faites votre part pour arrêter le meurtre d'animaux, et encouragez les campagnes pour prévenir que des animaux soient non désirés.

mercredi 16 juillet 2008

a ma fripouille toujours dans mon coeur




A MA FRIPOUILLE QUI NOUS A QUITTES LE 16 JUILLET 1998 A 14h30...

TU ES TOUJOURS DANS MON COEUR.
Lorsqu'un chien entre dans une famille, il devient membre à part entière de cette famille. Il donne de la joie, du bonheur, il manifeste un amour inconditionnel, sans jamais demander rien en retour si ce n'est une caresse...
Mais vient le moment où tu te rends compte que ton ami est toujours plus fatigué, ses jeux deviennent moins exubérants. Le déclin a commencé, et un jour, il s'endort pour toujours. Alors la tristesse entre dans ta maison, mais c'est bon de penser que cet éloignement, quelque douloureux qu'il soit, n'est que temporaire et qu'un jour nous retrouverons notre ami(e) sur le "Pont de l'Arc en Ciel".
Lorsqu'un animal a été particulièrement chéri par quelqu'un, cet animal va au "Pont de l'Arc en Ciel". Là, il y a des prairies et des collines pour que tous nos amis tant aimés puissent courir et jouer ensemble. Il y a toute la nourriture voulue, l'eau et le soleil, ils y sont bien au chaud et heureux.
Ceux qui étaient vieux et malades sont maintenant forts et vigoureux. Ceux qui étaient estropiés ou tordus, sont de nouveau intacts et costauds, comme nous nous en souvenons dans nos rêves du temps passé.
Ils sont heureux et contents, mais il leur manque une petite chose : chacun d'eux sent l'absence de quelqu'un tant aimé, de quelqu'un qu'il a dû laisser derrière lui...
Ils courent et jouent ensemble, mais un beau jour, l'un d'eux brutalement va s'arrêter et regarder au loin, vers l'horizon. Ses yeux lucides regardent, attentifs, il tremble d'impatience : tout d'un coup, il se détache du groupe et commence à courir, il vole sur le pré vert, toujours plus vite.
Il t'a reconnu, et lorsque finalement vous serez ensemble, vous vous embrasserez dans une étreinte pleine de joie, et vous ne vous quitterez plus. Une pluie de baisers heureux te baignera le visage; tes mains caresseront de nouveau ton animal tant aimé et tu regarderas de nouveau ses yeux fidèles, si longtemps loin de ta vie, mais jamais absent de ton coeur.
Alors vous traverserez, ensemble, le "Pont de l'Arc en Ciel"...
(Texte extrait de la Revue du Retriever Club de France - Janvier 2003)

dimanche 6 juillet 2008

soigner grace aux animaux


Chien, Lapin ou encore dauphin aident Le thérapeute à briser Le mur du silence
Soigner grâce aux animaux
Grâce à l’apaisement et au réconfort que les animaux apportent aux plus faibles, la zoothérapie accomplit parfois des merveilles.Témoignages...
A ujourd’hui, la thérapie assistée par l’animal est assez répandue dans notre société. Si elle est sou vent considérée comme complémen taire de la médecine classique, sa mé thode qui consiste à utiliser la seule présence de l’animal comme lien privi légié entre le professionnel de la santé et son patient a convaincu nombre d’insti tutions. Encore trop peu nombreuses,
les maisons de retraite commencent peu à peu à ouvrir leurs portes aux animaux de compagnie pour encourager les pen sionnaires à oublier leurs soucis de santé et leur vie routinière.
Des enfants moins isolés
Auprès des enfants atteints de troubles sensoriels ou psychomoteurs, le cheval, les rongeurs ou même le dauphin per-
L e chien, c’est celui qui écoute, qui réconforte, qui fait revenir le sourire quand ça ne va pas aux patients de l’hô pital Paul-Brousse de Villejuif. Mike, le terrier du Tibet, et Cali, le cavalier king charles, assistent dans son travail Ca therine Barthalot, infirmière et zoothé rapeute. Calmes, silencieux, ils se sou mettent volontiers aux caresses parfois maladroites des malades atteints no tamment de la maladie d’Alzheimer.
Dans la thérapie assistée par l’animal, le meilleur ami de Phomme se révèle un excellent média teur. «Facile à édu quer, il apprend toujours de nou velles commandes. Il peut intervenir auprès d’une ou plusieurs personnes, et la variété des gabarits permet de l’adap ter à chaque cas que nous avons à trai ter», explique la spécialiste de la santé,
Nos deux chiens visiteurs travaillent bénévolement pour l’association 4 Pattes Tendresse, qui a été fondée par leur maîtresse il y a maintenant qua torze ans. Mike, le terrier âgé de 12 ans, va d’ailleurs bientôt prendre sa retraite. Mais la relève est assurée par Cali, 9 mois, qui est encore en formation au près de son aîné.
mettent de venir à bout de leur mutisn et de les sortir de leur isolement.
Et au quotidien, dans nos foyers, si les animaux ne sont pas à proprement par ler nos thérapeutes, il est démontré scientifiquement que les caresses que nous leur prodiguons diminuent notre stress, font baisser notre tension arté rielle ou encore stimulent nos échanges. Que du bonheur..
« Quand ils entrent dans la chambre en remuant la queue, ils dégagent de la bonne humeur, décrit Catherine. Même si la progression se fait par étapes, la présence canine déclenche un change ment de comportement chez les ma lades. Parce qu’il ne juge pas, le chien apaise les patients, leurs mouvements se font plus doux et parfois la parole se libère. Il nous arrive d’entendre des phrases entières dites par des personnes qui, souvent, ne communiquent plus de puis bien longtemps. »
Si nos deux compères appor tent du soleil dans la vie des patients, ils en donnent aussi au personnel
soignant et aux familles. « C’est un sou lagement pour mes confrères de voir une personne apathique réagir à l’arrivée du chien. Ils regardent alors autrement leur patient, comme un être doué de vie et non comme une charge au quotidien. » Du côté de la famille, c’est aussi un vrai bonheur. Une fée se serait-t-elle pen chée sur le berceau de nos amis canins pour leur offrir un don mystérieux?... U L’association 4 Pattes Tendresse recherche
des bénévoles dans le 9Z le 94 et Paris -
TéI. :0661 4761 08. www4pattestendresse.fr
Les chiens font sortir les malades de leur isolement
photos:
Mike et Cati, Les cLés du bonheur
“Quand ils entrent dans La chambre, ils dégagent de La bonne humeur’
Simone Dufour salue Tvlike, le terrier de — 12 ans, qui va bientôt prendre sa retraite.
2 o MWLIONS DAMIS I juillet /août 2008

le dodo c 'est important



le dodo voilà qui est important!
j'y mets tout mon coeur!